Ryu no Hasu no Kimochi : C'est peut être toi que j'attend

Chapitre 1

Je fais le même rêve tous les soirs depuis maintenant 5 ans. Je ne sais pas où cela se passe ni quand, je sais juste que j’attends. Je fixe le couché de soleil assis sur ma moto. Même si en y repensant, je ne vois pas qui je pourrai attendre.

PDV Ryu-Ha :
-Ha chan? Ha chan? … HA CHAN?!!!!!
-Ah.
-Tu te réveilles enfin.
-Pardon, tu disais ?
-Toi alors. On parlait de mes cours.
-A oui, c’est vrai. Alors, comment ça se passe ? *commence à boire*
-Il m’enmerde ce pauvre nase.
-Haha !*pose la tasse* J’en étais sûr que tu me sortirais un truc comme ça.
-Toi par contre, je suis certaine qu’il te plairait.
-Tu me crois si désespéré que ça ?
- J’ai tord peut être ?
-Je suis bien avec ma situation actuelle.
-…
-Allez souris moi Cherry.
-Pff, t’es vraiment un garçon compliqué Ha chan.

Il y a des jours comme celui là où Cherî m’invite à boire une tasse de thé dans le maid café où elle travaille.
Pas qu’elle en ait besoin de ce travail, je dirais que c’est plus pour passer sa journée entourée de soubrettes.
Et oui, vous trouvez un bi et vous trouvez plus loin une lesbienne. Même si dans mon cas, ce n’est pas vraiment l’amour que je recherche.
Je suis accro aux sensations que procure les actes sexuels. Et ça, quelle que soit la personne que j’étreins ou celle qui m’étreint.

-*chuchote* Ha chan dépêche toi de partir, voilà des Kobun de ton clan qui te cherchent sûrement.
-Merci, t’es un amour ma petite cerise.

Je me nomme Ryu-Ha Kenami, j’ai 17 ans et je mesure 1m75 pour 57 kg. J’ai une taille fine et je peux dire que j’ai été conçu sous une mauvaise étoile. Je suis hermaphrodite, bien que je possède bel et bien des attributs masculins, mais mon corps lui ne ressemble pas à celui d’un homme. J’ai des hanches de femmes et c’est pareil pour mes bras, mes jambes et tout le reste. Et pour couronner la cruauté de la nature, je suis imberbe.
Mes cheveux sont noirs de geai et mes yeux sont de couleurs différentes, le gauche est indigo et le droit est bleu azur.
J’ai les cheveux longs, qui descendent au milieu de mon dos.
La chose que l’on me dit souvent, c’est que je suis compliqué. Enfin, c’est facile à comprendre, à part lui et mes amies d’enfances, j’ai tendance à couper toutes relations dès que l’on commence à ne plus vouloir me laisser partir. Mais j’aime aussi taquiner mes proches et leur lancer des vannes le plus généralement là où ça fait le plus mal. Cette nature sadique je l’ai depuis que je suis petit, pareil que cette « pancarte de solitaire ». Et après avoir fini les études vers l’âge de 12 ans, j’ai aussi acquis cette air blasé, que je garde toute la journée.
Je dois avouer que franchement, je m’ennuis.
Je suis parti ni vu ni connu du café et je suis rentré en moto au domaine Kenami. Je m’arrête, deux Kobun arrivent, l’un pour garer ma moto et l’autre pour prendre mon casque, mes gans et mes lunettes de protection.
Je continue et je suis salué par d’autre membre du clan. J’arrive vers la pièce principale pour rejoindre mon père, qui doit être en train de prier pour l’âme de ma mère, Yume, qui est morte quant j’avais 6 ans, et celle de mon frère jumeau, Ryu-Ke, qui lui est mort quant j’avais 13 ans.
J’entre sans faire un bruit, me pose au coté de mon père et commence à prier à mon tour.
Nous sommes vraiment entourés de morts.
Mon père, Suisen, qui est le chef du clan Kenami, a cessé toutes activités illégales le jour même de la mort de ma mère. Nous sommes un groupe yakusa mais respectons la loi (à notre manière).
Les Kenami dirigent la zone neutre, cela veut dire que nous ne sommes les ennemies de personnes et les alliés de personnes.

-Tu es encore parti seul.
-Hai. [Oui]
-Tu sais ...

Avant de finir sa phrase, mon père se jette sur moi pour me sérer dans ses bras, les larmes aux yeux.

-Tu es le seul qui me reste Ryu kun, alors s’il te plait, ne fait pas de chose qui pourraient te tuer toi aussi.

Tout en le prenant dans mes bras, je lui dis d’un ton calme.

-Hai, Otô sama [Oui, père]

Depuis que Oka sama [mère] nous a quitté, mon père assume seul le rôle des deux parents, mais cela fait 3 ans que sont état de santé s’est aggravé.
Plus tard voilà l’heure du dîné, les repas sont toujours animés chez nous. Tout le monde parle, rigole et c’est le seul moment où, les membres du clan, nous adressent la parole à peu près normalement.
Moi, qui d’habitude ne parle pas pendant le dîné, je n’ai pas pus retenir cette remarque :

« Ne sommes nous pas une bien grande famille ! »

Les membres du clan, le sourire aux lèvres, ont répondu avec enthousiasme :

« Hai Ryu-Ha sama ! [Oui maître Ryu-Ha !] »

J’ai une vie calme, bien rangée, dans un cadre aisé, que je clarifie de banale et ennuyeuse. Mais ça, c’était avant son retour.

A suivre …

ps: Le PDV signifie le point de vue du personnage

Alors comme ça tu l'a posté finalement ??
Ça me va tant que tu poste pas un chapitre avant que je ne l'ai lu ^^
Au passage, dans l'image du haut du chapitre avec le titre, tu as écrit "Ruy no Gemu" au lieu de "Ryu no Gemu" XD

c'est réglé Ryu no Hasu no Kimochi : C'est peut être toi que j'attend 2503065377

Chapitre 2

Je dois faire ce rêve presque tous les soirs depuis 5 ans. Je vois une personne m’attendre, recroquevillée sur elle même et les larmes aux yeux. Ce qui parait idiot dans un sens car je ne vois pas qui pourrait m’attendre.

PDV Hisui :

Cela fait cinq ans que j’ai quitté le Japon pour partir en Amérique. Je ne reconnais plus le paysage. Il a tant changé !
Lui aussi il à du changer en cinq ans.

Shinku: Mekaishi kun, part ici !
Hisui: Sekiko san.

J’ai téléphoné à Shinku pour lui demander de venir me chercher à l’aéroport. Il est le seul qui est resté en contact avec moi pendant ces cinq années.

Hisui: Encore merci de t’être déplacé, Sekiko san.
Shinku: Tu comptais rentrer à pieds ? Me dit-il avec un grand sourire.
Hisui: Ne me dis pas ça. Tu sais très bien que si les taxis n’avaient pas été inventé je l’aurai fait sans hésiter.
Shinku: Haha ! Te connaissant tu l’aurais fais sans aucun doute.

Sur la route nous avons parlé de mon séjour au « State », sujet qui est venu en premier, vu le temps que j’y ai passé. Le plus dur, c’est que je reprends ma scolarité dans 2 semaines avec un an de retard.

Shinku: Tu as parlé à personne de ton retour à par moi, donc quant on va arriver ils seront sûrement encore en train de faire les préparatifs.
Hisui: Je ne veux pas de chaleureux accueil de la part des personnes qui m’ont littéralement exilé à l’étranger.
Shinku:…Ca ne t’as toujours pas passé on dirait.
Hisui: Je crois que c’est le fait de ne pas le voir, qui m’a rendu la tache douloureuse

Il y a 5 ans je lui ai fait quelque chose d’ignoble que je ne me pardonne toujours pas.
Je pourrais même dire que je le veux toujours autant !
On arrive et c’est un accueil dans les règles et les coutumes japonaises dont j’ai le droit.
Je m’avance et les Kobun s’inclinent les uns après les autres. J’entre dans la demeure et une jeune fille se jette à mon coup. Il me faut quand même un moment pour que je réalise que cette fille est ma sœur Riomi, que j’ai quitté quand elle avait 10 ans.

-Hi Riomi chan
-Comment ça « Hi » alors que tu ne m’as même pas reconnu ?!

Mon père et ma mère arrivent eux aussi pour me souhaiter un bon retour, même si je lis un air de « j’aurai voulu que tu y reste plus longtemps » sur le visage de mon père. La soirée se passe comme toutes celles que j’ai passé dans cette famille, lentement et en silence. Je part me coucher et comme toujours je fais ce rêve.
Je suis Hisui Mekaishi, j’ai 17 ans, je mesure 1m80 pour 70 kg. J’ai un corps plutôt bien bâtit avec des cheveux bruns et des yeux dorés.
Je suis de nature calme, mais il ne faut pas se fier aux apparences car je suis assez impulsif.
Je perdais aussi souvent le contrôle devant lui. Même si il paraissait faible, je dois reconnaître qu’il était bien plus fort que moi malgré son petit corps.
Son corps…Il a dut changé. Lui aussi d’ailleurs. Comment est-il maintenant ?
Mes souvenirs et mes désires je voudrais les oublier.

PDV Ryu-Ha :

Hier, j’ai entendu dire que Hisui était revenu des états unis et qu’il était devenu bel homme.
C’est ennuyeux.
En plus de ça nous allons, mon père et moi, rendre visite au clan Mekaishi pour souhaiter un bon retour à ce mec.

-Je t’ai déjà dis que tu ne devrais pas garder de la rancœur à son égard.
-Je le sais Otô san, mais je n’y arrive tout simplement pas.
-…Tu es bel et bien comme ta mère.
-Pff, si vous le dites.

C’est ainsi que l’on m’a amené, ou plutôt traîné de force cher les Mekaishi.
Ce mec a toujours déréglé mon style de vie.

PDV Hisui :

Je me lève, part prendre mon déjeuner, enfin à 14 heures en début d’après midi, mais je prend quand même un déjeuner. Je me douche, me sèche les cheveux et me prépare pour la fin de la journée.
Aujourd’hui la demeure parait agité mais je décide de ne pas y prêter attention et de sortir dans le jardin.
C’est un jardin japonais tout ce qu’il y a de plus traditionnel. Je continue de marcher pendant quelques minutes et là en face de moi ce trouve …

PDV Ryu-Ha :

Après être arrivé mon père suit le chef du clan Mekaishi ou devrai- je dire son bras droit, donc le père de Hisui.
Moi, j’ai décidé de me rendre dans le jardin. Je m’y suis promené pendant environs une heure avant de m’allonger et de m’assoupir sur le gazon.
Après cette bonne sieste, je me relève et décide de rejoindre mon père pour éviter que l’ennui me gagne et me fasse encore dormir dans des endroits peut recommandables.
Sur le chemin il y a un petit pont et je n’ai pas pu m’empêcher de m’asseoir, de retirer mes chaussures et de mettre les pieds dans l’eau. En levant les yeux je l’ai remarqué en train de me regarder comme si j’étais un fantôme. Je dois avouer que j’ai du lui faire le même regard étrange.
Non…ça c’est ce nabot de Hisui ?!

A suivre …

Chapitre 3 :
PDV Hisui :
Je me réveille en sursaut avec une forte douleur à la tête et aussi au niveau de l’abdomen. Je ne sais pas trop ce qui s’est passé. Je me rappelle l’avoir vu et s’avancer d’un pas rapide vers moi mais après plus rien.
J’essai de me rappeler ce qui a pu se produire quand, j’aperçois une silhouette au niveau de l’encadrement de la porte coulissante.
C’est lui.
-Ryu … -J’inspire un grand coup avant de continuer ma phrase- Ohayo [bonjour] Kenami san, lui dis-je avec un petit sourire avant qu’il me réponde froidement avec un …
-C’est Konbanwa [bonsoir], crétin.
Je suis choqué par sa réaction. Je me souviens d’un garçon direct mais pas aussi dur et froid. Ses expressions elles aussi ne sont plus les même.
-Que c’est il passait ?
-…
-Kenami san répond moi s’il te plait.
-Il t’a projeté contre la paroi du mur avec un coup de pied, tu t’es cogné la tête assez violemment et tu as perdu connaissance sur le coup.
Je relève la tête et vois derrière Ryu-Ha l’Oyabun [le chef du clan], son père. Un frisson traverse mon corps et je commence à avoir des sueurs froides.
Il me sourit et me disant de me calmer et continu ça phrase :
-Tu ne risque rien venant de moi, mais je serai toi je serai respectueux envers mon futur maître.
Mon rythme cardiaque s’emballe à l’intonation de ses mots.
Il a accepté de devenir Oyabun ?!
-Je m’excuse pour mon impolitesse Kozou sama [jeune maître].
Si je dois faire cela pour rester à ses cotés je le ferais.
Mon père étant le Waka-gashira [le bras droit?] de Suisen sama je me dois de reprendre le « flambeau » comme il l’a fait avant moi.
Je déteste le monde des yakuza mais lui il en fait partie maintenant.
Je protègerais Ryu-Ha quoi qu’il arrive.

[size=18][b]PDV Ryu-Ha :

Je ne sais pas ce qui ma pris, mon sang n’a fait qu’un tour. Je me suis littéralement jeté sur lui. Premier problème, il a percuté le mur derrière lui, deuxième problème, ça c’est produit devant nos pères.
Quand je pense qu’il est passé à quelques centimètres de mon père, je me sens un petit peu, mais alors un tout petit peu coupable de ce que j'ai fait.
Je reste à ses cotés le temps qu’il reprenne ses esprits.
Je le vois se réveiller avec le sourire.
Mukastuku [il m’énerve]
Je lui ai parlé avec un ton sec et rude intentionnellement pour qu’il se taise.
Quant mon père est arrivé il paraissait effrayé ce qui ma plutôt surpris.
Et la chose qui m’a le plus énervé et le moment où il m’a appelé Kozou sama.
Je ne veux pas entendre ça de toi !
Je me lève et sort de la pièce presque en courant.
Ca m’énerve ! Oui vraiment ça m’énerve !
Je suis presque dehors quand je sens une main me retenir par le bras. C’est Hisui qui m’a poursuivi.
Je me débat pour qu’il me lâche mais rien n’y fait.
Il est plus fort qu’avant ce con !
Je décide d’y mettre plus de force et le fait de nouveau voler et là …

PDV Hisui :

Ryu-Ha est parti de la chambre, pas en courant mais presque, et je me suis mis à lui courir après.
Je l’ai attrapé pour me retrouver projeter à nouveaux.
Dans ma chute je lui ai arraché sa manche.
Nan, j’n’y crois pas ! C’est pas possible !

-Pourquoi … POURQUOI TU PORTES LA MARQUE D’UN ASASHIN [assassin] ?!
-Lâche moi …
-Non, répond moi d’abord !

Son visage à changé d’expression, il paraissait paniqué et il m’a collé son poing dans la gueule.
Je me retrouve de nouveau au sol et je le regarde partir en courant.
Quand je me suis redressé j’ai vu quelque chose qui brillait par terre, alors je me suis approché pour voir ce que c’était et là j’ai vu…
Ryu no Hasu no Kimochi : C'est peut être toi que j'attend Captu100

Ryu no Hasu no Kimochi : C'est peut être toi que j'attend Captu100

…qu’il l’avait perdu.

PDV Ryu-Ha :
Dans la demeure des Sensô Ha, dans la chambre de Cheri Sensô Ha
Cheri : Franchement Ha chan, t’es pas gonflé de débarquer chez moi et de scouater le lit comme ça.
Ryu-Ha : Eh ben je savais que tu avais rien de prévu alors …
Cheri : J’AI QUELQUE CHOSE DE PREVU JE TE SIGNALE ! ALORS QUAND MURASAKI ARRIVE, TOI, TU T’EN VAS !
Ryu-Ha: ... *snif*
Cheri: … Ha chan?
Ryu-Ha : Hu … *commence à étouffer des pleurs*
Cheri : Ha chan tu pleures ? Aller, regarde moi. * le retourne brusquement * ... pff, c’est pas marrant. Tu pleures mais ton visage manque encore d’expression. C'est à la fois beau et flippant, on dirait une poupée de porcelaine. * lui caresse la tête * C’est pas grave je dirais à Saki que ce sera pour une autre fois.
Ryu-Ha : Hé …
Cheri : Hum ?
Ryu-Ha : Comment tu fais pour m’apprécier ?
Cheri : Je ne sais pas. Pour moi c’est normal de t’apprécier.
Ryu-Ha : Pourquoi ?
Cheri : Parce qu’on se connaît depuis tout petit.
Ryu-Ha : Pour …
Cheri : Ca suffi ! * se jette sur lui et le prend dans ses bras * Quesqu’il t’arrive ? Tu sembles sur le point de te briser.
Ryu-Ha : …
Cheri : Tu ne dis rien ? Quel dommage, j’aime beaucoup ta voix.
Ryu-Ha : … Il y a pas longtemps on m’a demandé si j’aimais les filles j’ai dis non et après on m’a demandé si j’aimais les garçons j’ai dit non.
Cheri : Ryu-Ha…
Ryu-Ha : Je n’aime personne, même pas toi * recommence à pleurer *On m’a demandé si j’étais déjà tombé amoureux j’ai dis que non … alors pourquoi mon cœur hurle le contraire ?
Cheri : « Nice expression » [belle expression]
Ryu-Ha : Hein ?
Cheri : Tu dit que tu n’aimes personne mais c’est que devant lui que tu deviens un « humain » comme les autres Ha chan * se lève et marche vers la porte * Ah oui c’est vrai, il y a une autre raison pour laquelle je t’aime bien.
Ryu-Ha : Laquelle ?
Cheri : Nous sommes nés avec la même marque sur notre bras gauche.
Ryu no Hasu no Kimochi : C'est peut être toi que j'attend Tatoua10

Ryu no Hasu no Kimochi : C'est peut être toi que j'attend Tatoua10

C’est pour ça que dans un sens je te comprends un peu. Pour nous, les humains ordinaires sont faibles et trop fragiles pour que l’on s’approche d’eux.C’est pourquoi on créait une sorte de barrière entre eux et nous, mais on s’intéresse à ceux qui réussissent à nous approcher.
Ryu-Ha : C’est ça le problème.
Cheri : C’est tout à fait normal, après tout … Nous ne sommes même pas humains.

A suivre …

Chapitre 4

« -Ryu…
-Ne me touche plus jamais Hisui ! *rejette sa main*
-Ryu-Ha, s’il te plait…
-Casse toi et crève ! »

PDV Hisui :
*BADABOUM*
-Aie…

Pour une foie que je ne fais pas ce rêve, il faut que je me remémore ce moment là.
Après avoir fais ce rêve, je me suis réveillé en sursaut et je suis tombé de mon lit.
Quant Ryu-Ha est partit j’ai rien trouvé à faire d’autre que de repartir me coucher, je suis passé devant le bureau de mon père, j’ai vue que la porte était entre ouverte, je regarde à l’ouverture (oui oui la curiosité est un vilain défaut) et je vois nos père en train de parlé.
Je dois dire que nos pères s’entendent bien, trop bien, là c’est un p’tit peu trop bien !

-Suisen…
-Non, arrête Onikisu, pas ici…
-Ça fait trop longtemps !
-Haah !

J’ai vue nos père le faire.
Et bien que cela n'est aucun rapport avec se souvenir ça me la rappelé.
Suis-je…en manque ?
Enfin… Je me lève et commence à m’habiller et là je vois le pendentif de Ryu-Ha -sur ma table de chevet- qui brille.
Je lui ai offert le jour de ses 11 ans…
Ce souvenir douloureux date du jour où j’ai violé Rya-Ha. On avait 12 ans.

PDV Ryu-Ha :

Quand j’ai rencontré Hisui je venais d’avoir 7 ans. Je venais de perdre ma mère et l’état de santé de mon frère devenait instable. Donc je n’étais pas très disposé à avoir pour « ami » le fils du Shatei Gashira.
Mais la première impression qu’il ma donné rien qu’en le regardant c’était qu’il paraissait calme, poli et beaucoup plus class que Cheri.
Enfin, ça, c’était avant qu’il ouvre sa bouche.
Il parlait, il parlait, souvent que de rien mais il parlait. Et un beau jour, comme si de rien n’était, je lui ai foutu mon poing dans gueule et lui ai dit directement sur un ton sec :
« Tu vas la fermé ta grande gueule ?! »

J’ai su ce jour là qu’il lui manquait une case, parce qu’il à rit et à ensuite dit :

« -Haha, je le savais que tu n’étais pas un monstre !
- Nani [qu’est ce que] ?! Mais t’es vraiment con comme mec !
-Ouai sûrement !»
Je crois que ça a été une des seules fois où j’ai pu rire comme ça avec lui.
On a été dans les mêmes écoles jusqu’au collège où on a découvert que comme j’enregistrais tout ce qu’on me disait et tout ce que je lisait, j’ai pu passer des test pour avoir les diplômes que je devais déjà avoir.
C’est comme ça qu’à l’âge de 11 ans j’avais atteint le niveau universitaire.
Hisui, lui, étais toujours au collège quant j’ai arrêté les études. Il m’a invité moi et Ryu-Ke qui allait beaucoup mieux. Mon frère est resté moins longtemps que moi mais ça lui a fait plaisir de sortir et de voir des jeunes de son âge.
C’est ce jour là que Hisui ma pris de force.
Il ma surpris et je n’ai pas trouvé la force de me débattre. Quant il est revenu à lui, je l’ai repoussé en lui disant de se barrer et de crever au passage.
Après ça, j’ai appris qu’il avait été envoyé en Amérique pour un temps. J’imagine qu’il a du être dégoûté de son geste
Un an plus tard, mon frère est mort dans mes bras. On sortait joué ensemble pour la première fois depuis que notre mère était morte. Une voiture est arrivé des homme en noir son arrivé devant et l’un deux a sorti une arme à feu. Des kobun de notre clan son arrivé, on tué la plupart des hommes mais l’un d’eux a tiré dans notre direction. Ryu-Ke s’est placé devant moi pour me protéger et a prit la balle à ma place.
Il a été touché en plein cœur et avant de fermé les yeux pour de bon il ma dit avec un sourire radieux :

«Je suis contant...de t'avoir eu...comme jumeaux. »

A ce moment là je ne sais pas ce qui s’est passé, j’ai senti mon cœur s’accélérer et j’ai entendu une voix presque identique à la mienne résonner dans ma tête.

« Hihi, maintenant c’est l’heure de jouer »

Quand je suis revenu à la raison j’étais couvert de sang et j’avais massacré les hommes qui nous avaient agressé, mais aussi les kobun qui été venu nous aider. Ce qui ma le plus troublé, c’est que ça ne ma pas dérangé. Au contraire j’ai eu l’impression que c’était quelque chose que je cherchai depuis longtemps.

« Je…me retenais…depuis si longtemps»

Hisui…tu avais tors. Je suis un monstre.

Retour au présent :
Cheri: Il ta appelé comment déjà ?
Ryu-Ha: « Asashin ».
Cheri: Pff Hahaha!
Ryu-Ha: Donc ça te fais rire qu’on soit traité d’assassins comme de simple humain.
Cheri: C’est pas moi qui me suis barrer et qui est venu squatter chez quelqu’un!
Ryu-Ha:Tss…je ne te comprendrais jamais.
Cheri: Je n’en demande pas autan, enfin c’est normal que tu ne me comprenne pas, vu que tu en es un que depuis 5 ans.
Ryu-Ha:Peut être mais j’en ai plus que toi.
Cheri:Arrête de me chercher.
Ryu-Ha: Depuis que tu connais Purple, t’as diminué t’es effectif.
Cheri: Ouai ben si tu crois que c’est facile de cacher que t’es un « kami » à la personne que tu fréquente, tu te trompe !
Ryu-Ha: De toute façons pour les dragons c’est pas évident de résister à nos désir, bien que toi tu soi abonné à la « Murasaki confort pro ».
Cheri: Casse-toi de ma chambre ! *lui balance des coussins*
Ryu-Ha: Ne la fatigue pas trop, tu en as besoin . *part*
Cheri: Ca, je le sais très bien.

Comment meurt un dragon ?
Il y a trois possibilités :
1-Être tué par un autre dragon
C'est rare car nous sommes peu nombreux et pas du genre à créé des querelle entre nous
2-Se lier à la mauvaise personne
L'âme du partenaire est trop faible et nous détruit de l’intérieur
3-Ne pas tué au bout d’un an et ne pas assouvir ses désirs
Rare car nos désirs l’emportent sur la raison
Il y a une possibilité mais ça arrive une fois tous les millénaires donc on ne la compte pas.
C’est être puni par les âmes que l'on a mangé.

-Bon, alors qui vais-je dévorais aujourd’hui ?

PDV Hisui:
Hisui: De toutes les personnes sur cette planète, pourquoi il a fallu que je tombe amoureux d’un psychopathe comme Ryu-Ha ?!
Riomi: Haaa ?!
Hisui: Je ne sais pas pourquoi mais ce mec m’attire. Je comprends pas, pourquoi lui ?
Riomi: C’est bizarre...que tu aime un monstre comme lui, nii-san.

Ouai, c’est vrai. Peut importe à quel point je peux l’aimer il sera toujours hors de ma porté.
Je me couche, je m’endors et je fais ce rêve mais bizarrement je crois avoir fais un songe différent de celui que je fais chaque soir.
« S’il te plait ne pleur pas »
Le matin je me réveille le bras tendu vers le plafond et les larmes aux yeux.
Ce rêve qui n’a pas de sens, je ne le supporte plus

-C’est ta punition ? Ryu-Ha ?

A suivre…

T'AVAIS PAS LE DROIT !!!! MECHANTE !!!! TOUT ÇA A CAUSE D'UNE PANNE D'INTERNET !!! C'EST PAS JUSTE !!!!
En plus t'as mis 2 fois le même mot dans cette phrase :
"Il y a une possibilité ~~possibilités~~ mais ça arrive une fois tous les millénaires donc on ne la compte pas."

Et je suis pas petite !!!!! Non mais !!

mais aussi je t'adore Mayo-chan ♥

Ben pas moi, MECHANTE !!
Par contre, si tu recommence plus, je veux bien te pardonner....
Mais seulement pour cette fois, alors à toi de voir !!!
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inspiration je te cherche mais je te trouve pas Ryu no Hasu no Kimochi : C'est peut être toi que j'attend 2458268739

C'est bête ^o^
lol bonne chance pour trouver la suite =)

Ça m'aide pas !

Désolé ^^"
mais en même temps, je vois pas comment je pourrai t'aider xD

pour le prochain chapitre j'ai besoin de l'autorisation de Léli-chan car je me suis bien fais plaisir

ok je l'ai ^v^

Chapitre 5
PDV Ryu-Ha :

Je ne vis plus dans la résidence du clan Kenami depuis près de deux ans. Je me souviens encore de la réaction de mon père avant mon départ :

« Suisen:Ryu-Ha~~ !!!!!!!!
Ryu-Ha:Putain, lâche moi~~~~!
Onikisu:S’il vous plait Suisen sama calmez vous !
Suisen:Ne me laisse pas !!!!!!!! *Pleure comme une madeleine* »

Si Mekaishi san n’avait pas était là, il ne m’aurait pas lâché et je serais encore coincé là bas.
Bon, tout ça pour dire que je vis dans un loft deux étage, isolé de tout, seul.

Spoiler:

On y accède par les airs, vu que c’est plutôt haut dans la montagne, mais moi j’y accède par un petit sentier en moto.

Spoiler:

Le calme est plaisant et l’isolement est ce que je recherchais, je peux dire que je ne manque pas de place, mais la vue que j’ai sur la ville de Kyoto le soir est ce que j’aime le plus.

Spoiler:

Ici au moins je peux être moi-même.
Je peux me balader à poil autant que je le veux, vu que ça ne dérange pas les voisins.
Eux aussi sont peu bruyants d’ailleurs. Que ce soit les écureuils, les oiseaux ou les autres créatures qui habitent aux alentours.
J’aime mon train-train quotidien et il a encore était perturbé par mon père et par le « Gumi » [clan].
Et une fois de plus, j’ai était baladé un peu partout par mon père.

Ryu-Ha:Alors ? Où allons nous ?
Suisen:Au siège du clan Urubâ pour régler un petit problème mais aussi pour fêter la sortie de prison de leur « Kozou Oyakata » [jeune maître].
Ryu-Ha:Comme si vous vous en souciez.
Suisen:Non en effet je m’en balance, mais c’est surtout pour leur montrer à qui ils ont à faire.
Ryu-Ha:…Ménagez vous quand même, vous êtes toujours faible Otô sama.
Suisen:Ryu-Ha~~ *le sourire aux lèvres et les yeux qui brillent*

Arrivé là bas, nous sommes installés par des kobun. Mon père aux côtés de l’Oyabun du clan des Urubâ, moi dans l’assemblée. Au moment où ça commence, je sens une gène au niveau de mon bas ventre.
Des hommes, des hommes et des hommes. Que se soit des jeunes maîtres, des hauts placés ou des bras droits, 60% d’entre eux ne sont rien d’autres qu’un ramassis de bisexuel notoire.
Et merde.
Il n’y rien de plus ingérable que mes pulsions.
Au moment où je m’apprête à regagner la demeure de mon clan, mon père étant resté régler son affaire, je suis stoppé par une voix.

/!\la suite est ici

Spoiler:

Haha ! Le dernier passage m'a plu bizarrement Razz

la suite =D

bizarrement hein ? XD

» le ski =D, mais peut être pas de chéri T.T
» Trombis d'un homme comme les autres ou peu etre pas. Il est un peu moche non? (Zephirre)